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Sortie 20130210 par Mika

Publié le par Mika

Le proverbe du jour : ­ A la saint Arnaud, qui écoute la météo, reste au bistrot. (ou au dodo !)

 

9H00 du mat’, petit crachin à la fenêtre : dilemme…

Quelle stratégie adoptée : écouter la météo (donc reste au dodo) ou rouler à gogo.

Allez décision prise, en piste !

 

Dans le 1er groupe, seulement 6 à braver le vent, la pluie, la tempête, l’ouragan… (Et dire que certain(e)s  croient que le vélo est de tout repos).

 

Bref, David dit FDM, JuJu, Xav, JC, Simon and Garfunkel, Mika enfourchent leurs montures. Temps maussade, petite balade donc.

Mais que nenni : Départ de Falleron par les Chesselières, direction Grand’Landes par le chemin du Poisac. Sortie du chemin presque propre, passage près de l’Hubertière à Saint Christophe du Ligneron pour enchaîner direction Saint Paul-Mont-Penit par le Pâti de la Bonne Vierge (Obligation Dominicale).

Mais, au lieu de penser retour, qui eut l’idée d’aller voir si les sentiers de la Bercerie étaient praticables ? Allez ! Direction la Cabane (sur Maché), puis Aizenay pour emprunter les fameux sentiers gorgés d’eau. Nous sortons sur la route de la Chapelle Palluau. Il est 11H30 et il tombe des cordes. Allez, c’est décidé, il est temps de rentrer. Passage par Palluau puis la Maladrie (Commune de Saint Etienne du bois).

Nous traversons le bourg de Grand’Landes ou un arrêt s’impose pour prendre des nouvelles du second groupe afin d’organiser au mieux l’accueil des néo-vvtistes.

Nous apprenons que quelques courageux ont bravé le vent, la pluie, la tempête, l’ouragan…. Miguel Indurain, Stéphane Bonof (Fils de René), Nicolas le jardinier sont arrivés et rentrent dans leurs chaumières prendre une bonne douche méritée. J’ajoute un petit commentaire sur ce 2° groupe ou il faudra préciser dans notre règlement qu’il est absolument interdit de lier 2 sports la même journée, c'est-à-dire VTT et course à pieds : il ne faudrait quand même pas que ces sportifs émérites nous mettre la « raclée » lorsqu’ils vont nous rejoindre dimanche prochain avec des entrainements dignes des vrais pro (malgré que certains trichent dans le 1° groupe en faisant un petit tour de 60kms le samedi mine de rien…).

Donc, après avoir pris ces bonnes nouvelles sur nos collègues, direction la route de Falleron. Arrivée a la hauteur de la Jaubretière, une flèche nous double (JP du Team Touvois Formule 1) : le gaillard arrive de sa petite sortie dominicale de 180 kms (je ne suis pas vraiment sur du nombre de kms car mal entendu a cause  le vent, la pluie, la tempête, l’ouragan…)

Allez, derniers kms à bloc pour rejoindre notre petit local adoré.

Lavage rapide des montures, dégustation aussi rapide des breuvages de la semaine dernière et direction la douche pour tous.

Pas si mal pour un dimanche ou nous avons dû braver le vent, la pluie, la tempête, l’ouragan… (47 kms au compteur et pas moins de 9 communes traversées)

 

Nous n’avons pas sorti souvent l’appareil photo au cours de notre périple. Vous retrouverez, quand même, ci-contre à la date du jour, quelques images qui vous donneront un aperçu de l’état des chemins pendant cette sortie.

 

 Entendu dans le peloton Dimanche matin …

Alors, qui peut me dire d’où vient le vent ?

Lors d’un échauffement, les gars du VTT Loisirs Falleronnais discutent de la façon dont chacun tente de repérer d’où vient le vent lorsque celui-ci ne souffle qu’à peine. Et chacun d’y aller de sa recette issue de son expérience, de ses observations, d’un « truc » transmis par un ancien…
-   J’essaye de me placer à droite puis à gauche du gars qui me précède, dit Xav’
-   je regarde les feuilles dans les arbres, lâche Juju.
-    … de quel côté ploient les herbes sur le bas-côté, renchérit un troisième.
-    … les jupes des femmes, lance un Casanova (devinez lequel ?)
L’ambiance devient dès lors moins sérieuse.
-    Je mouille mon doigt et je le lève pour savoir de quel côté je sens la fraîcheur !
-    Je crache en l’air assène finalement le plus blagueur de tous.
Interloqués, les autres veulent en savoir plus…
-    Et alors ?  l’implorent-ils.
-    Ben, je regarde sur qui atterrit le crachas !

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